Les voeux du président

     Françaises, Français, chers immigrés et autres déchets. L'année 2010 se termine et comme chaque année, je vous fait durant ces vœux un petit bilan de l'année écoulée. "Écouler", encore un mot à ne pas introduire dans la bouche de Rachida Dati.
2010 ne s'est plutôt pas mal passée, excepté la crise, l'affaire Béttencourt, l'affaire Karachi, la coupe du monde de foot,... Mis à part ces clapotis, nous pouvons estimer avoir passé une bonne année.
Je commencerais par déplorer le départ de Raymond Domenech de l'équipe de France de foot: pour une fois que quelqu'un était plus impopulaire que moi... Même si je sens que Marc Lièvremont avec le rugby peut endosser son rôle. Quant aux petites affaires qui ont émaillé cette année, n'en parlons plus. A chaque fois c'était la faute d'Eric Woerth. Finalement, tout est bien qui finit bien: la famille Béttencourt est réconciliée et je ne doute pas que les terroristes de Karachi nous tombent dans les bras, de moi et d'Edouard Balladur.
Bref, 2010 est derrière nous, à moins de faire demi-tour sur soi-même, et attaquons 2011.
J'envisage 2011 comme une année pleine de promesses; je prévois un emploi minimum avec un chômage maximum, une immigration massive de Maliens au Mali et de Tziganes en Tziganie et je vois une décroissance positive.
Oui, l'égalité pour tous. Là plus personne ne pourra suivre les conseils d'Eric Cantona et aller vider son compte au distributeur automatique de billets, ou alors, si certains le font, ils n'auront pas de quoi faire péter le système.
Sur le plan personnel, bien sûr que je vais me représenter en 2012! Non pas que mon succès sur la réforme des retraites y soit pour quelque chose, mais c'est plutôt ce qui se passe au PS qui me donne envie: je vous parie que je peux faire 53% avec 2% d'opinion favorables.
Bonne année à tous et quant à moi, direction les Seychelles au soleil!