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16/02/2011
La semaine dernière,
Nicolas Sarkozy était "face aux français". Le cocktail était détonnant: diffusion sur une chaîne réputée pour son
impertinence (
TF1), un journaliste des plus redoutés chez les sabotiers du Mont
Ventoux( Jean-Pierre
Pernaut,
journaliste pot de fleur, plus proche de la pâquerette que des ronces) et des français qui représentaient vraiment la France ou en tout cas, une
certaine idée de la France, c'est à dire sans militant
CGT, sans barbu gauchiste à col roulé et petites lunettes cerclées de métal. Mais par contre une pharmacienne de
Nice( fief
d'Estrosi) qui se sent persécutée par tout ce qui dépasse la teinte d'un norvégien malade et qui aurait moins de 30 ans.
La prestation de notre président fut très convaincante si l'on en croit "Le Figaro" du lendemain (bien
qu'Etienne Mougeotte ait rédigé son
édito 3 semaines à l'avance) et les sondages où l'on voit que 100% des Jack
Lang interrogés l'ont trouvé "formidable".
Admettons-le, notre président fut très bon: ses réponses plus que spontanées (telles qu'elles furent rédigées par
Henri Guaino), avec un message clair: le chômage, c'est pas bien, la guerre, ça tue, il y a des armes, ça fait des morts, quelle horreur.
Après ça, je n'ai qu'une chose à dire: "Douce France" ou plutôt, "Dolce
Francia".
1 commentaires / Kion vi pensas pri tiu artikolo ? :
Carla Bruni qui reprend "Douce France" en italien, pauvre Charles Trenet, son cercueil doit faire ventilateur.
Tu vois, Dameg, plus rien ne t'empêches de reprendre "L'Internationale" à la bombarde, je pourrais dire: "J'ai connu pire".
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