Ce drôle de zèbre a participé à la grande java organisée par "Dracula père et fils". Au menu, taxi, roulotte et corrida.
C'est là que mon curé, chez les thaïlandaises par encore dévêtues est arrivé avec le facteur de St-Tropez et son vélo muni d'un GPS: il a vécu toutes les aventures de guidon futé.
Le curé dit au facteur: "Recule jusqu'au tas de sable". Celui s'exécute difficilement: "Arrête de ramer, t'attaques la falaise!" lui crie-t-il. Trop tard! Il a désensablé Hitler. Le führer en folie hurle partout: "Général, nous voilà!", puis il saute sur les thaïlandaises et leur montre comment se faire réformer en 10 leçons. Dans le même temps, il leur fait trois enfants dans le désordre.
"Par ici la monnaie" dit-il, une fois les saillies terminées. Les thaïlandaises s'exécutent puisqu'après tout, mieux vaut être pauvre et bien portant que riche et mal foutu.
Le curé assène au Führer: "Plus classe que moi, tu meurs". Le Führer s'en va en criant "Et vive la liberté!", direction Cavalaire. "Bonjour les emmerdes à Cavalaire, se dit l'ecclésiastique.
Dans cette soirée, il y eut d'autres événements. Les vacanciers, des étudiants et des militaires étaient là, venus à pied, à cheval et en Spoutnik. Y'a pas de mal à se faire du bien, alors on se calme et on boit frais à St-Tropez. Les diplômés du dernier rang se rapprochèrent dans la soirée des bidasses en cavale.
Les grands sentiments font les bons gueuletons, on est pas sortis de l'auberge. Les joyeux lurons pratiquent l'amour vache. Autant vous le dire, c'est le plumard en folie. C'est le retour des bidasses en folie.
"Soldat Duroc, ça va être ta fête!" crièrent les charlots en délire. Les duos sur canapé s'enchaînent entre les bidasses aux grandes manoeuvres et ces quelques messieurs trop tranquilles. Le grand fanfaron du groupe passa à la position de la chaussette surprise.
Mais y'a un os dans la moulinette: les veinards demandèrent au fou du Labo 4 qui vient de quitter la mêlée: "Par où t'es rentré? on t'as pas vu sortir!". Vexé, il répondit: "Arrête ton char, bidasse!"
Les saillies ne s'arrêtaient pas, pour preuve cette exclamation transperçant la nuit: "Embraye bidasse, ça fume!". Les démerdards profitaient de ces vacances explosives. Les réformés se portent bien, mais c'en est bientôt fini de ces noces de porcelaine, on arrive, comme on dit dans le milieu à "la dernière bourrée à Paris". Rapidement, il ne reste plus que deux jeunes tropéziens.
Planquée derrière le chêne d'Allouville, la grande maffia débarque de retour de mission à Tanger. Elle déclare à l'un des deux enfoirés à St-Tropez présent face à elle: "Poussez pas grand-père dans les cactus".
Apeuré par la vendetta, le délégué de cette charlot's connection dit à son ami: "Prends ton passe-montagne, on s'en va et accroche-toi, y'a du vent".
Les borsalini rétorquèrent: "Te marre pas, c'est pour rire", avant d'enchaîner:"On a un coup pour vous, c'est facile et ça peut rapporter... 20 ans". Ils répondirent: "C'est dingue, mais on y va, on a du mou dans la gâchette".
"Ok, mais n'oublie pas ton père au vestiaire".
Le jour s'est levé, bons baisers à lundi!