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29/11/2010
Dans un an jour pour jour, le
PS désignera son poulain pour représenter l'écurie socialiste lors du Grand Prix du président de la République édition 2012. Même Alain
Duhamel et Jean-Pierre
Elkabbach, des turfistes aguerris ne savent pas quel cheval pointera le bout de museau sur la ligne d'arrivée.
On peut dire que beaucoup de concurrents se pressent dans le box de départ pour cette longue course d'obstacles; des bourricots de tout poil, dont certains aux dents aussi longues qu'on aimerait pas qu'ils nous fassent une inflation. Je veux bien sûr parler des
Beatles: Vincent
Peillon,
Arnaud Montebourg, Benoît
Hamon et Manuel
Valls; les quatre garçons dans le vent seront opposés au groupe de favoris composé de trois éléphants roses:
Martine Aubry, la reine des
moules-frites,
Ségolène Royal, l'excitée du marais poitevin et
DSK, le
priapique du
FMI. N'oublions pas
non plus, celui qui a vécu 24ans avec
Ségolène Royal, François Hollande, qui de ce fait, démontre qu'il a des nerfs assez solides pour diriger le pays.
Le
programme du
PS est désormais connu: sur le plan national,
niquer Sarkozy, sur le plan économique,
niquer Sarko et pour les retraites, oublier qu'on a promis de la ramener à 60 ans une fois au pouvoir. C'est tout, mais c'est le plus fourni depuis
Mitterrand.
Eh oui, rendez-vous compte, tout ce bazar pour se faire cogner par le Front National au premier tour, le Front National, une grosse cote qui finit toujours placé.
1 commentaires / Kion vi pensas pri tiu artikolo ? :
Tu as raison mais ce qui va être amusant c'est de voir tous les socialistes s'étriper pour ensuite échouer une nouvelle fois. Moi qui suis de sensibilité de gauche, je trouve qu' on est mieux en force d'opposition, on promet des conneries car on sait qu'on ne pourra jamais les réaliser.
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